La nuit s'enfuit avec ses douleurs

Dessin, Installation, Néon, Sculpture
Le dessin cest la trace, et la trace est tout autant mémoire qu'oublie.

Avec cette idée que cette oeuvre pourrait être d’abord le mystère, l’interrogation ou la puissance d’une présence. A partir du moment où je fais de ce dispositif le vecteur d’une sensation, ce n’est donc plus sa présence qui compte, mais plutôt sa capacité à dialoguer avec les visiteurs, avec un lieu ou une architecture.

Au fond, il s’agit de substituer à la tradition du monologue de l’oeuvre, la possibilité du dialogue dans la situation. Peut-être aussi parce que je recherche ici la perception de l’émotion. Et tout mon médium, le dessin, doit être transformé en perception d’une certaine façon.